Cliquer pour ajouter une information
temporelle
Collections: passion de vie
1304
Vues
jeudi, 12 juin 2014
Document Téléchargé
Faculté de droit -
Centre universitaire du droit de l'art
COLLECTIONS:PASSION DE VIE
Si l’objet d’art dégage beauté et esthétisme, notions auxquelles on
est plus ou moins sensible, il témoigne surtout d’une époque, d’une
culture, d’un rayonnement politique ou religieux, d’une puissance ou
d’une déchéance. L’objet d’art nous permet alors de tracer l’Histoire,
mais aussi «notre» histoire, pour, in fine, mieux nous comprendre,
nous-mêmes et l’autre. Le patrimoine culturel, qui est notre mémoire
collective, revêt ainsi une importance tout particulière, dans la paix
comme dans la guerre.
C’est sur cette thématique que s’exprimera Jean Claude Gandur,
fondateur et président de la Fondation Gandur pour l’Art. Il s’intéressera
aussi à ce qui, selon lui, anime le collectionneur d’art: non pas l’inclination
à la spéculation ni même à l’appropriation, mais une passion
intuitive pour les objets et un sentiment profond d’obligation à leur
égard. Pour Jean Claude Gandur, lui-même collectionneur et mécène,
la passion pour l’art et la constitution de collections mises à disposition
du public révèlent une passion pour l’Homme, une envie de contribuer
au partage des cultures qui nous unissent pour la paix.
LE PATRIMOINE CULTUREL DE L’HUMANITÉ: UN OUTIL POUR LA PAIX
Genève, centre international de résolution pacifique des différends, est aussi
un lieu de réflexion, de recherche et d’enseignement dans le domaine de la
protection des biens et du patrimoine culturels. L’Université de Genève abrite
ainsi depuis peu une chaire UNESCO en droit international de la protection
des biens culturels. Deux nouveaux enseignements, l’un en droit de l’art, l’autre
en droit international, une Summer School destinée aux étudiants du monde
entier et la plateforme ArThemis, qui répertorie et analyse des cas de conflit
et les alternatives de résolution dans le domaine de l’art, sont autant de projets
pluridisciplinaires réalisés dans le cadre de la chaire.
Si l’objet d’art dégage beauté et esthétisme, notions auxquelles on
est plus ou moins sensible, il témoigne surtout d’une époque, d’une
culture, d’un rayonnement politique ou religieux, d’une puissance ou
d’une déchéance. L’objet d’art nous permet alors de tracer l’Histoire,
mais aussi «notre» histoire, pour, in fine, mieux nous comprendre,
nous-mêmes et l’autre. Le patrimoine culturel, qui est notre mémoire
collective, revêt ainsi une importance tout particulière, dans la paix
comme dans la guerre.
C’est sur cette thématique que s’exprimera Jean Claude Gandur,
fondateur et président de la Fondation Gandur pour l’Art. Il s’intéressera
aussi à ce qui, selon lui, anime le collectionneur d’art: non pas l’inclination
à la spéculation ni même à l’appropriation, mais une passion
intuitive pour les objets et un sentiment profond d’obligation à leur
égard. Pour Jean Claude Gandur, lui-même collectionneur et mécène,
la passion pour l’art et la constitution de collections mises à disposition
du public révèlent une passion pour l’Homme, une envie de contribuer
au partage des cultures qui nous unissent pour la paix.
LE PATRIMOINE CULTUREL DE L’HUMANITÉ: UN OUTIL POUR LA PAIX
Genève, centre international de résolution pacifique des différends, est aussi
un lieu de réflexion, de recherche et d’enseignement dans le domaine de la
protection des biens et du patrimoine culturels. L’Université de Genève abrite
ainsi depuis peu une chaire UNESCO en droit international de la protection
des biens culturels. Deux nouveaux enseignements, l’un en droit de l’art, l’autre
en droit international, une Summer School destinée aux étudiants du monde
entier et la plateforme ArThemis, qui répertorie et analyse des cas de conflit
et les alternatives de résolution dans le domaine de l’art, sont autant de projets
pluridisciplinaires réalisés dans le cadre de la chaire.