11
Ma thèse en 180'' Finale locale - Université de Genève - 2019
Audrey Noireterre, Bodinier Romain, Salamani Dalila, Sabrina Amrouche, Maximilian Haas, Raimbault Manuela + 5 autres
2018-2019
conference
’Université de Genève a organisé le 9 avril la 4ème édition de la finale régionale de Ma thèse en 180 secondes.

A cette occasion, 10 candidates et candidats ont présenté leur thèse en 180 secondes avec pour objectif d’expliquer leur sujet de recherche en termes simples afin de convaincre le public et le jury venus assister à cet événement.

A l’issue de la finale régionale, le jury a décerné trois prix. Les lauréats et lauréates participeront ensuite à la finale nationale qui aura lieu le 6 juin 2019, à La Chaux de Fond, organisée par l’Université de Neuchâtel. Le public présent a aussi eu la possibilité de voter pour décerner le prix du public.


«Quel est l’intérêt de faire de la recherche si c’est pour ne pas la communiquer aux autres, que ce soit experts ou non experts? Ici on a une opportunité inespérée de parler de nos recherches.»
Candidate FPSE, édition 2016


Les lauréates et le lauréat 2019 :

Romain Bodinier Faculté de médecine, 1er Prix du jury

Dalila Salamani, Faculté des sciences, 2ème Prix du jury

Audrey Noireterre, Faculté des sciences, 3ème Prix du jury et Prix du public



Découvrez très prochainement les capsules vidéo de l'ensemble des prestations des personnes candidates de l'édition 2019



JURY
Le jury de cette édition 2019 était composé de:

Tony Berrada, professeur ordinaire de la Faculté d'économie et management, Geneva Finance Research Institute

Muriel Cuendet, professeure associée de la Faculté des sciences, section des sciences pharmaceutiques

Mélodie Derome, doctorante de la Faculté de psychologie et des sciences de l'éducation, Unité de psychologie clinique développementale

Bertrand Kiefer, Rédacteur en chef de la Revue Médicale Suisse

Nicolas Aune, directeur Industrie & Innovation de la Fédération des Entreprises Romandes



«Du point de vue de ma thèse (et c'était inattendu), c'était très intéressant d'avoir à me poser la question de ce que je voulais transmettre de plus important, et de resserrer les enjeux principaux, que l'on perd parfois de vue quand on est plongé profond dans sa recherche.»