Le terme esclavage semble désuet, venu de temps révolus. Pourtant, loin d’avoir disparue, l’exploitation d’autrui est toujours d’actualité et ceci même dans les pays riches où la démocratie et la lutte pour l’égalité semblent acquises. De nouvelles formes d’esclavage émergent, où comme par le passé, des personnes en position de faiblesse sont exploitées au nom du profit.
Cette problématique sera abordée selon le point de vue de trois personnalités qui ont côtoyé les formes modernes d’esclavage : Nagham Hriech Wahabi, présidente de Organisation Internationale Contre l’Esclavage Moderne, Gulanara Shahinian, ancienne rapporteur spécial sur les formes contemporaines d’esclavage à l’ONU et Anne-Frédérique Widmann, journaliste d’investigation et grand reporter.
Trois entretiens menés par des membres des associations estudiantines (AESPRI, Amnesty international UNIGE, Foraus et Kam’Af) auxquels le public pourra participer.
Le terme esclavage semble désuet, venu de temps révolus. Pourtant, loin d’avoir disparue, l’exploitation d’autrui est toujours d’actualité et ceci même dans les pays riches où la démocratie et la lutte pour l’égalité semblent acquises. De nouvelles formes d’esclavage émergent, où comme par le passé, des personnes en position de faiblesse sont exploitées au nom du profit.
Cette problématique sera abordée selon le point de vue de trois personnalités qui ont côtoyé les formes modernes d’esclavage : Nagham Hriech Wahabi, présidente de Organisation Internationale Contre l’Esclavage Moderne, Gulanara Shahinian, ancienne rapporteur spécial sur les formes contemporaines d’esclavage à l’ONU et Anne-Frédérique Widmann, journaliste d’investigation et grand reporter.
Trois entretiens menés par des membres des associations estudiantines (AESPRI, Amnesty international UNIGE, Foraus et Kam’Af) auxquels le public pourra participer.